Le Deal du moment : -35%
Philips Hue Kit de démarrage : 3 Ampoules Hue ...
Voir le deal
64.99 €

Aller en bas
Aleksis Kivelä
Aleksis Kivelä
Date d'inscription : 26/08/2024
Messages : 9
Emploi/loisirs : Faire du sport
Lun 26 Aoû 2024 - 17:40

Aleksis Kivelä


llakisiña

Âge : 32 ans

Étape du deuil : Colère
Depuis combien de temps ? 15 ans

Avatar : Samatoki Aohitsugi - Hypnosis Mic

Caractéristiques physiques


Taille : 1,86 mètres
Poids : 63 kilos
Corpulence : Grand musclé, paraît fin et frêle


Couleur des cheveux : Blanc
Couleur des yeux : Rouge
Vision : Plutôt floue quand il est fatigué à cause de son albinisme. Sinon, elle est plutôt nette, bien que bien loin d’être parfaite. A cause de cela, il peut avoir besoin de lunettes afin de l’aider dans la vie de tous les jours.

Signes distinctifs :
→ multiples piercings aux oreilles
→ bracelet noir et blanc à son poignet gauche qu’il ne quitte jamais
→ Tatouages sur les épaules et le dos, non colorié, qui représente un phénix entouré de flammes et de fleurs

Style vestimentaire : Il s’habille généralement de manière classe, avec des chemises et des vestes avec un pantalon en toile ou un jean selon son envie ou les circonstances. Il peut également porter des bijoux en plus de ceux qu’il porte constamment (piercings et bracelet). Concernant sa coiffure, il laisse bien souvent ses cheveux lui arriver au menton bien qu’il puisse lui arriver, plus rarement, de les mettre en arrière.

Je ne suis pas une personne facile à aborder dans la vie de tous les jours. Le contraire aurait été étonnant à vrai dire… Je n’aime pas spécialement me lier aux autres. Comme si tout le monde était sur le point de m’attaquer ou de tenter de me manipuler. Je déteste cette sensation et, pour cette simple raison, je me montre souvent très peu amical, voire exécrable si jamais il y en a besoin pour que la personne insistante perde toute envie de me parler. Quoi de mieux que le doute, l’incompréhension et la colère pour qu’on ne vous approche plus ? Quoique cela ne fonctionne pas toujours.

En plus de cette méfiance des autres, j’ai du mal à m’intégrer où que j’aille. C’est comme si je détonnais avec le reste du monde, peut-être à cause de mon attitude ou de mes paroles. Je n’en sais rien. En tout cas, c’est un fait, je ne passe pas inaperçu. Cela me casse clairement les pieds et je ne me fais pas prier pour l’exprimer. Après tout, je suis un râleur de première. Quand je déteste quelque chose, je préfère largement le dire plutôt que devenir une cocotte minute. Ça ne plaît pas aux autres ? Grand bien leur fasse ! Je ne vais certainement pas me plier aux sensibilités de chacun. J’ai d’autres chats à fouetter dans la vie. Comme, par exemple, faire cette putain d’épreuve. Déjà, ça me gave de vouloir la faire encore et encore sans savoir la raison exacte. Mais, en plus, j’en ai assez d’être poursuivi par les irpiri à longueur de temps. Enfin, j’en parlerais un peu plus tard de tout ça.

Dans la vie de tous les jours, et surtout avec mon cercle privé (qui est assez fermé), je dis toujours ce que je pense. Je ne me cache pas derrière des faux-semblants. Après tout, si j’ai confiance en la personne à mes côtés, je n’ai absolument rien à cacher. Je n’ai pas vraiment de secret à garder de toute manière. Quoique… Je ne dirais peut-être pas mes mauvaises pensées à propos de connards qui s’en prennent à moi ou des irpiri à moins qu’on ne me lance sur le sujet. Néanmoins, plutôt qu’un débat houleux avec une personne que j’apprécie, je préfère quand même me poser calmement avec elle et qu’on partage nos passions.
Aussi, je ne laisserai jamais un de mes proches dans la merde. J’ai un certain sens de l’honneur que je respecte quoi qu’il arrive : loyauté, courage, audace… Et pour aider ce proche dans la merde, je suis prêt à tout, même à passer devant la justice pour lui s’il le faut. Néanmoins, cette idée m’effraie et me met en colère pour une raison que je ne comprends pas. Alors, je fais tout pour qu’on n’en arrive pas à là. Bizarrement, je préfère presque ne pas me lier du tout que de m’associer à des personnes trop bien. Et je me fais un point d’honneur de ne plus traîner avec des enfoirés de service, tout comme je me refuse catégoriquement de faire partie d’un groupe. En général, dès qu’une troisième personne intègre la discussion, je m’en vais. C’est moi avec une personne ou rien du tout.

Je pense qu’il m’est compliqué de garder mon sang froid, surtout quand quelque chose me tient à cœur ou lorsqu’un de mes proches est en danger. Je dirais même que j’ai tendance à m’énerver assez rapidement. Pourtant, je suis capable de gérer des situations compliquées pour moi. Cela n’arrive pas souvent, pourtant c’est le souvenir que j’en ai.
Je parlais plus tôt du fait d’être trahi. Il faut savoir que je suis extrêmement rancunier envers ceux qui s’en prennent à moi et mes proches. Je pense être capable du pire selon ce qu’on nous fait. Cela n’est encore jamais arrivé, mais cela pourrait. Je me rappelle vaguement que je rendais chaque coup à mon frère quand on était gamins, c’est sur ça que je me base pour dire une telle chose.
En parlant de gamins, je les aime autant que je les déteste. Disons qu’il est hors de question que je les laisse dans la merde, mais, d’un autre côté, j’ai horreur de leur manière naïve et crédule d’agir. Ils sont beaucoup trop innocents et semblent pouvoir voir à travers les gens, j’ai horreur de ça.

Comment vis-tu ta vie à Ilaki aujourd’hui ?


Je déteste l’idée de travailler. Je suis persuadé de ne pas avoir les compétences nécessaires pour offrir quoi que ce soit aux autres. De même que je doute que qui que ce soit puisse faire confiance à un bad boy comme moi. Voilà pourquoi je m’épargne la peine de m’engager dans des trucs comme ça. Cela m’a même dissuadé à ouvrir un café puisque j’adore créer des boissons chaudes comme le café.

A la place, je préfère largement m’occuper de ma petite personne en faisant du sport : course, musculation, boxe… J’aime prendre soin de mon corps et, surtout, garder la forme au cas où je devrais me défendre contre une chose ou une autre.
En contradiction avec ceci, je suis un gros fumeur. Je n’arrive pas à m’arrêter. Je stresse beaucoup trop quand je le fais, devenant même plus violent et antipathique que je peux l’être au quotidien. Je n’ai pas spécialement envie de l’être avec ceux qui ne le méritent pas, donc autant de ne pas essayer d’arrêter.

Je déteste m’appuyer sur les irpiri. J’ai l’impression que leurs conseils sont à chier. Bien sûr, ils m’ont bien aidé quand j’ai commencé à me sentir mal et que, du coup, ils m’ont expliqué comment je devrais m’y prendre pour aller mieux. D’ailleurs, je vais régulièrement passer l’épreuve, que cela soit le moment ou non à leurs yeux. Mais ce n’est pas une raison pour m’appuyer sur eux sans raison apparente. je peux me passer de leur aide, qu’ils soient d’accord avec ça ou non.


Où en es-tu dans ton deuil ?


llakisiña

Je n’arrive pas à comprendre pourquoi je me sens aussi mal. On m’a dit que je suis en deuil, mais que je sache, je n’ai perdu personne et rien n’a spécialement changé dans ma vie. Alors autant m’en débarrasser aussi rapidement que possible. C’est pour ça que je vais aussi souvent que possible faire l’épreuve qamasa. Je sais que je peux la faire une fois par jour, alors autant en profiter. Ouais, je me sens souvent mal, en colère d’ailleurs en ce moment, quand elle se termine, et ça m’agace de ne pas comprendre pourquoi !

Je me sens agité, plus anxieux quand je suis avec d’autres personnes. Plus qu’avant, j’ai envie de rester seul. D’ailleurs, j’ai tendance à toujours me méfier des autres, allez savoir pourquoi. Enfin, qu’importe. Je ne compte pas changer pour les autres si je me sens plus à l’aise comme ça. Bien sûr, je veux changer, mais pas pour les autres. Pour moi et ne plus avoir cette peur et cette colère qui menacent de me faire vriller à tout moment.

Oh mais je suis persuadé que les irpiri seraient ravis de me donner toutes les astuces du monde pour m’aider d’une manière ou d’une autre. C’est juste que je ne les laisse pas faire. Je ne veux pas spécialement leur parler et, comme je l’ai dit avant, j’ai l’impression que ce qu’ils me disent ne s’adaptent pas à ma situation. Je préfère me débrouiller tout seul. Je m’en sors très bien et ils devraient être contents que je fasse leur épreuve tout seul comme un grand. Ils n’ont pas besoin de me tenir par la main, ça fait déjà une personne en moins à gérer comme ça.

De quoi te rappelles-tu de ta vie à Ilaki ?


Je suis né et j’ai toujours vécu à Ilaki. J’avais des parents aimants et un frère avec qui j’avais tendance à me bagarrer pour un oui ou un non. Il me semble que nous n’avons jamais réussi à nous entendre jusqu’à ce que la vie nous sépare. Nous avons pris des routes totalement opposées et, depuis, nous ne nous sommes plus vus. Que ce soient mes parents ou mon frère, ils ne me manquent pas spécialement. Au contraire, je me sens bien mieux sans eux, même si je pense que je les aimais au moins un peu. Sinon je les aurais sans doute oubliés.

Depuis que je vis seul, je me suis senti étrangement mal. J’ai passé un certain temps sans savoir ce que je pourrais faire, comme si j’étais démuni. Aussi, je n’osais plus vraiment sortir de chez moi, comme si une météorite allait me tomber sur la tête si je le faisais. C’était très étrange à vivre, moi qui n’ai jamais eu ce genre de problème auparavant. C’est à ce moment-là que j’ai reçu une invitation des irpiri à me rendre au Centre d’informations pour un rendez-vous. L’idée ne me plaisait pas vraiment, mais puisque je n’avais pas d’autres options, j’y suis tout de même allé. C’est à ce moment-là, autour d’une conversation compliquée, que j’ai appris que je suis actuellement en deuil et que j’étais à la toute première étape, le choc. Quelle idée, franchement ! Impossible ! Du moins, c’est ce que j’aurais voulu dire. Étrangement, même sans plus d’explication sur le pourquoi du comment, j’ai tout de suite su que c’était la vérité. Assez bizarre comme sensation…
Désireux de me débarrasser au plus vite de cette sensation désagréable, j’ai écouté leurs conseils pour passer chaque étape du deuil jusqu’à ma libération : être suivi par au moins un irpiri et passer l’épreuve qamasa.

Depuis lors, je passe l’épreuve qamasa dès que possible, mais je refuse catégoriquement de passer voir les irpiri. Ces derniers viennent me trouver de temps en temps pour essayer de me parler, de me demander comment je vais. Je n’aime pas leurs méthodes et, la plupart du temps, je les envoie balader. En général, ils n’insistent pas trop. Tant mieux, ça me fait des vacances.

Aujourd’hui, malgré le fait que je ne suive qu’un seul de leurs conseils, j’ai réussi deux fois l’épreuve. Malheureusement, je bloque. Je n’arrive pas à me défaire de cette colère et je suis constamment sur la défensive dès qu’on vient me parler. Est-ce que ça a un lien avec mon deuil ? Je n’en sais rien. Malgré mon instinct, j’ai l’impression de ne pas parvenir à avoir le moindre indice sur la question. Alors, je fais la seule chose à ma portée et qui ne me débecte pas : je continue à faire cette épreuve encore et encore sans me décourager.


Quels sont les souvenirs qui pourraient remplacer ceux existants ?


TW - Violence


Je suis né dans les années 90, en Finlande. Mes parents n’étaient que de petits ouvriers gagnant leur vie difficilement. A ma naissance, j’avais déjà un frère aîné nommé Oskari, un garçon modèle et sage qui ne demandait jamais rien à personne. Nous avions bien huit ans de différence et il n’était pas spécialement ravi de mon arrivée soudaine à ses yeux. Après tout, il n’avait pas compris que notre mère était enceinte de moi, nos parents n’ayant pas réussi à lui faire oublier l’idée que notre mère était juste devenue grosse et qu’il fallait qu’elle perde du poids. C’est qu’il était têtu l’animal ! Et il l’a été toute sa vie.

Mon enfance a été pour le moins… houleuse. Mauvais à l’école à cause de difficultés que personne ne comprenait puisque je ne manquais pas d’intelligence et que je faisais des efforts pour apprendre ce qu’on essayait de m’inculquer, je suis devenu plutôt turbulent. J’avais besoin de montrer que j’étais présent, de faire quelque chose qui me plaise, quitte à emmerder tout le monde, sans me soucier de la concentration que d’autres pouvaient avoir besoin. Je bavardais, jouais… et à la maison j’ai fini par tout bonnement abandonner l’idée de faire des efforts pour des résultats médiocres dès le début du collège. D’autant plus que la pression que me mettait mes parents ne m’aidait pas du tout à faire de mon mieux, sans parler de mon frère qui mettait son grain de sel. Nous ne nous entendions pour rien : ni les jeux, ni les passions, ni les cours, ni les copains… Rien. Cela faisant, nous nous disputions énormément, allant même jusqu’aux poings, bien que je fus toujours celui qui donnait le premier coup.
Tout ceci ne fit qu’empirer quand, au collège, j’ai commencé à m’entourer de personnes turbulentes pour lesquelles ont ne voyait qu’un avenir sombre de fauteurs de troubles. Avec elles, j’ai commencé à fumer, à avoir des idées folles, je sortais la nuit alors que j’étais sensé dormir, j’ai bu mon premier verre d’alcool avant même d’être majeur… Et, dès que j’en eu la possibilité, à l’âge de seize ans, j’ai arrêté l’école. Dans une certaine mesure, cette décision a été prise autant pour mes parents qui, loin d’être riches, n’auraient pas supporté de donner de l’argent à des études prolongées alors qu’ils supportaient déjà celles de mon frère qui avait décidé de devenir avocat, que pour moi qui n’avait aucune envie de m’infliger des années de souffrance assis sur un banc.

Dans la volonté de gagner de l’argent pour aider ma famille et offrir à mon frère le métier de ses rêves, je me suis tourné vers un métier peu recommandable mais qu’on disait extrêmement rentable : mafieux. Pour cela, j’ai traversé la mer séparant la Finlande de la Russie afin de rejoindre Moscou. Comme excuses à ce voyage, j’ai prétendu aller chercher du travail dans un autre pays et j’ai refusé toute aide financière de la part de ma famille. Je ne voulais pas qu’on me voit comme un simple boulet incapable de faire quoi que ce soit de sa vie. Avec des petits boulots pour la pègre, je me suis fait un peu d’argent, ce qui m’a aidé à payer les frais. Puis, après pas mal de galères, notamment pour apprendre la langue du pays, je suis parvenu à entrer comme larbin dans la Podolskaïa.

Je ne suis jamais parvenu à monter les échelons au sein de la mafia. Malheureusement, je ne suis resté qu’un simple petit larbin qui ne gagne que quelques clopinettes. A cause de ça, tout mon argent partait pour ma famille et mon niveau de vie n’était pas des plus glorieux : un petit studio, quelques vêtements bon marché, des clopes et un régime alimentaire restreint. Pourtant, je n’ai pas perdu courage. J’étais déterminé à réussir et, mine de rien, j’étais soutenu par mon meilleur ami, Matveï. Russe de naissance, il est entré dans la mafia par recommandation et était là avant moi. C’est lui qui m’a appris ce qu’il savait du métier et du fonctionnement de l’organisation, bien que lui non plus ne connaissait pas tout. Nous avons vécu beaucoup de choses ensemble : des joies, des galères, de la tristesse et nous nous sommes battus pour des petits rien avant de rire aux éclats face à la bêtise de nos actions. Bien qu’elle ne fut pas glorieuse, cette époque de ma vie était très certainement la plus heureuse.

Toute bonne chose connaît une fin. Telle est une leçon de la vie que j’ai apprise très tôt dans ma vie, notamment quand je devais arrêter de jouer pour travailler mes devoirs, entre autres. Cela faisait partie de l’enseignement de mes parents. Pourtant, j’ai fait l’erreur de l’oublier. Tout comme j’avais oublié que la pègre est un endroit dans lequel il faut se méfier de tout le monde, même ses amis.
Alors que nous étions en mission consistant à livrer une marchandise très spéciale à un futur partenaire avec Matveï, nous sommes tombés sur un groupe souhaitant nous doubler. Nous avons dû nous battre contre cinq gars armés jusqu’aux dents alors que nous devions protéger la marchandise au péril de nos vies. Ce fut un combat acharné, extrêmement éreintant, dont nous ne sommes pas sortis indemnes. Des coupures, des contusions, quelques doigts cassés pour lui, une arcade sourcilière en mauvais état pour moi… Néanmoins, ma faculté de réflexion, bien que médiocre de base, n’a pas été affectée. Cette attaque me paraissant étrange, surtout à cause de la surprise de ces gars avant d’engager le combat, je me suis penché sur le chef du groupe. Je soupçonnais un traître dans l’organisation, bien que je n’ai pas compris qui était cette personne. Je l’ai pris par le col et je lui ai demandé sans aucune douceur :

- Qui t’a engagé pour nous attaquer ?

- C’est… C’est…

Son regard partait au-dessus de mon épaule. Pensant qu’il cherchait de l’aide auprès de mon acolyte parce qu’il ne pouvait plus supporter d’être frappé, je le secoue et lui demande à nouveau :

- Un nom. Donne-moi son nom !

Un coup de feu est tiré et, avant qu’il n’ait pu me parler, l’homme mourut devant moi d’une balle dans la tête. En levant les yeux, je vis Matveï avec un flingue fumant encore du coup tiré.

- J’peux savoir c’que tu fiches ?!!

L’arme se pointa sur moi. C’est à ce moment-là que je compris qui était le traître. Je compris que j’avais moi aussi été trahis, non seulement par rapport à la loyauté que je portais envers la Podolskaïa, mais également envers notre amitié. Je l’ai haï plus que je n’ai jamais haï personne d’autre avant lui.

- Tu aurais dû rester le pote stupide que j’aimais.

- MATVEÏ !!!!

Alors que je hurlais son nom, j’entendis un coup de feu. Je ne ressentis aucune souffrance. Je n’en eu pas le temps puisque tout s’arrêta pour moi dans la seconde suivante.


Qui sont les personnes qui pourraient faire remonter ces souvenirs ?


→ Les parents de Aleksis qui ont une place importante dans son enfance. Après tout, malgré leur sévérité envers l’enfant turbulent qu’il était, ils s’aimaient tous énormément. Même si cette période a été entachée par ses bêtises, ce fut une période très heureuse de sa vie et qu’il a énormément affectionnée.

→ Son grand frère qu’il aimait et avec qui, pourtant, il n’a jamais su s’entendre. Il ressentait énormément de jalousie à son égard, ce qui était étonnamment réciproque. Les deux frères qui se battaient auraient pu s’entendre s’ils s’étaient dit les choses correctement.

→ Matveï, l’ami et collègue qui l’a doublement trahi (raison de son deuil) qui est également la personne qui l’a tué. Aleksis lui voue une haine toute particulière et, s’il venait à se rappeler de tout ce qu’ils ont vécu ensemble, il n’aura qu’un seul but : le tuer.

Qui es-tu ?


Je m'appelle Ryne et je suis âgé(e) de 32 ans ans. Je préfère généralement qu'on utilise le pronom elle pour s'adresser à moi.
Je autiste, c'est pourquoi je peux avoir des difficultés à entrer dans les délires, comprendre les seconds degrés ou mettre le doigt sur les non-dits. N'hésitez pas à me dire quand quelque chose ne va pas : je suis ouverte à la conversation et je ne demande qu'à comprendre le problème pour mieux trouver des solutions avec les personnes concernées. Cela vaut autant pour les RP que pour les discussions de tous les jours.


A propos du forum...


Comment as-tu découvert le forum ?
J'en suis la Fondatrice~

Qu'en penses-tu ?
J'en suis fière et je suis extrêmement heureuse qu'il vous plaise autant. Merci beaucoup pour l'intérêt que vous lui portez o/

Les annexes étaient-elles faciles à comprendre ?
Je l'espère et dans le cas contraire je les modifierais au mieux pour que le maximum de personnes puissent entrevoir ce monde que j'ai créé sans pour autant dévoiler les secrets aux non initiés~

Quel est ton rythme global ?
Je suis globalement là tous les jours. Il se peut que je puisse avoir besoin de temps en temps d'une pause à durée indéterminée, mais en général je préviens quand cela arrive.


Un petit mot à ajouter ?


Ceci est mon second compte hors le compte fondateur. J'espère que ce petit bout vous plaira autant que Ayden a su conquérir vos cœur !


Jiwañ Diosa
Jiwañ Diosa
Administrateur
Date d'inscription : 25/07/2024
Messages : 50
Lun 26 Aoû 2024 - 17:43
Tu es validé(e)
Aleksis Kivelä

Ne tue pas tout le monde, mon petit. La force se trouve dans l'amour que tu porteras aux autres~

Tu peux désormais...


  • Commencer à RP dans la zone dédiée
  • Te recenser dans les listings afin que personne d'autre n'ait le même avatar que toi et pour que ton pouvoir puisse être connu de tous
  • Créer ta fiche de liens / carnet de bord si tu as envie de noter l'évolution de ton personnage et ses rencontres
  • Faire une demande de RP pour trouver des partenaires d'écriture

  • Concernant les Doubles-compte, le staff s'engage à le recenser dès la validation de ta fiche. Tu n'as donc rien à faire concernant ce point-là.


Nous te souhaitons un bon séjour à Ilaki~
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum