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Sacha Belami
Sacha Belami
Date d'inscription : 23/08/2024
Messages : 14
Sam 24 Aoû 2024 - 1:40

   

Sacha Belami "Sach"


   
llakisiña

   Âge : 27 ans.

   Étape du deuil : Le déni.
   Depuis combien de temps ? Depuis la fin de l'adolescence donc il est à cette étape depuis une dizaine d'années.

   Avatar : E-Ki - Shuuen No Shiori

   

Caractéristiques physiques

 
Taille : 1m87
Poids : De 70 à 80 kilos (poids plus ou moins instable)
Corpulence : Très grand de taille, sa carrure est plutôt carrée. Il prend et perd des joues et du ventre facilement mais derrières ces formes il y a du muscles. Sacha est un agité, un dynamique son corps suit la cadence.

Couleur des cheveux : Ils sont blonds foncés et plutôt courts, mais leur abondance et épaisseur permet à Sach de les attacher en une queue de cheval aussi, il utilise des barrettes pour relever ses mèches rebelles.
Couleur des yeux : Jaune.
Vision : Correct

Signes distinctifs : Il portes des barrettes multicolores assortis à du vernis de même teintes, systématiquement.
Style vestimentaire : Sacha porte énormément de bijoux, une chaîne couleur or,  des bracelets simples à chaque poignet ainsi que deux bagues. Parfois il se maquille les contours yeux et surtout retient ses cheveux avec ses barrettes colorées. Quant à ses tenues elles dépendent de ce qu'il compte faire : Lorsqu'il compte flâner ou jardiner il portera des survêtements simples, amples, unicolores et plutôt sobre : du noir, brun, gris, blanc.. Tandis que lorsqu'il s'habille pour une activité social, il portera de jolies chemises colorées avec une veste et un pantalon de costume assortis. Il apprécie les formes géométriques, et souvent choisi ses vêtement "d'apparat" dans des tons verts, mauves ou bruns.

Je suis facile à vivre et me laisse porter par le courant. J'ai ma fierté à moi et préfère me débrouiller tout seul même si j'apprécie de discuter avec les autres. Je ne connais pas grand monde à vrai dire, mais chaque rencontre est unique et précieuse pour moi. Par contre, j'ai du mal à m'inquiéter pour les autres, peut-être est-ce de l'égoïsme ou de l'égocentrie ? En tout cas cela ne m'empêche pas d'écouter ce que les gens ont à dire, c'est une forme de curiosité, dirait-on. Je ne pense pas parler beaucoup de moi, j'exprime mes émotions principales mais n'ai rien d'autre à dire aux autres. L'agressivité ne me caractérise pas, je ne me souviens d'aucune grosse colère de ma part. Au contraire je suis plutôt l'optimiste qui cherche à s'amuser. J'ai besoin de m'occuper et m'épanouir dans de nombreuses occupations, et avec le jardinage ce sont les jeux de sociétés avec d'autres personnes qui me plaisent le plus. Je préfère gagner mais je suis celui qui ris quand il perd en renversant discrètement la table pour tricher.

Peut-être que je suis légèrement maniaque et imbu de ma personne, dans le sens où je n'apprécie pas de me tromper ou de rater quelque chose, j'ai ce besoin de bien faire les chose. Je suis très ponctuel. J'arrose mes plantes toujours à la même heure en temps normal.

J'avoue qu'il m'arrive de traverser des phases où je me sens inefficace et lent, alors là je ne fais que manger et me reposer. J'essaye de ne pas trop rester dans ces phases.
Oui, autrement, j'aime rire et le redis, j'adore jouer.  

Comment vis-tu ta vie à Ilaki aujourd’hui ?


À vrai dire je ne travaille pas, plutôt je m'occupe énormément. Est-ce que cela ressemble à une forme de travail ? Je passe la majeure partie de mon temps dans les jardins, les parcs et les potagers, là bas je me sens bien. Je flâne aussi du côté de chez les artistes, ceux qui peignent de magnifiques toiles ou ceux qui construisent à la main des objets. Je suis membre d'un club de poterie mais je n'y vais pas souvent car cela ruine mon verni alors j'y participe seulement lorsque je souhaite renouveler ma vaisselle. Observer les artisans ou la nature m'apaise d'une certaine manière. Je participe également à des cessions de jeux de plateaux de cartes, avec qui le souhaite. Côté sport, plusieurs fois par semaine je pratique la course à pied, très tôt le matin, cela me permet de sentir l'air frais et de passer de longues journées. Le dessin m'attire, mais il semblerait que ce ne soit pas mon atout principal, j'hésitais à apprendre mais il y a beaucoup d'autre choses que je souhaite accomplir alors c'est pour cela que je préfère regarder les jolies œuvres d'arts.

Il est vrai que j'évite de voir les irpiri, ils m'ont anciennement aidé, mais je pense aller beaucoup mieux, alors je ne leurs rend pas souvent visite, mais cela peut m'arriver.



Où en es-tu dans ton deuil ?


llakisiña


Pour être honnête je ne suis qu'à moitié convaincu d'avoir avancé, mais je ne suis pas sure de vouloir réellement  "avancer". Je suis peut être contradictoire mais je sûre que ça va aller tout seul, sans l'aide de personne. Mon coeur s'apaisera de lui même. Je profite désormais de la vie après tout. Enfin, je ne peux pas en être si convaincu. Disons que je ne suis pas certain de vouloir aller au bout. Je sais bien qu'il y a ces choses qui me tracasse au plus profond de moi et que je devrais poursuivre mon deuil mais j'appréhende la suite. Aujourd'hui j'ai l'impression d'aller bien, même si ce n'est pas tout à fait le cas, je sens que la suite me fera souffrir.

De quoi te rappelles-tu de ta vie à Ilaki ?


 
"Sacha, Sacha !", "Ne cours pas", "Non c'est non", "Arrête", "Calme toi", "Stop", "Arrête de gigoter comme ça", "Mange doucement", une ribambelle de reproches, mon enfance est remplie de reproche quand j'y repense, alors je n'y pense pas, c'est très bien ainsi. Après la suite de mes souvenirs sont mieux : il y a des jardins où beaucoup de personnes cultivent. Je ne sais pas depuis quand j'y vais mais encore aujourd'hui je m'y promène, maintenant j'ai une parcelle où j'ai le droit de faire pousser ce que je veux. J'aime la terre.
Et puis, il y a les livres ça transporte. Je lis toujours les mêmes livres, je ne sais pas bien pourquoi. Je flâne beaucoup, histoire de sortir de chez moi. Je ne sais pas bien le déroulement de ma vie, mais cela doit ressembler à maintenant : un quotidien bien chargé.

Quant à mes souvenirs des irpiris, je suis très mitigé. Ils m'ont donné beaucoup de conseils, mais je ne les croise jamais aux parcs ou à jouer à des jeux de société. Ils semblent vivre une tout autre vie que moi. Pour ma part, c'est toujours la même chose et ça me va très bien.



Quels sont les souvenirs qui pourraient remplacer ceux existants ?



Le dimanche 11 février 1962 est le jour de ma naissance, c'est ma maman qui me la dit. Elle s'en souvient très bien, car ma grande sœur Anya jouait le premier violon d'une œuvre de Wagner. Cela m'a marqué car je pensais que maman m'en voulait d'être né ce jour. Fière qu'Anya soit une prodige infantile, maman loue tous les faits et gestes de ma soeur. Avec du recule, j'ai seulement été un enfant jaloux qui a pensé longtemps être en manque d'affection. Ça n'a jamais été le cas et j'ai mis du temps à m'en rendre compte. En fait, lorsque je suis devenu très proche d'Anya, elle m'a avoué que le jour de ma naissance, elle a joué pour maman et moi, depuis, c'est avec joie que je fête mon anniversaire avec Anya au violon et maman qui me tapote la tête doucement. Puis, en grandissant Anya m'a paru géniale. J'ai enfin compris pourquoi même Maman la respecte depuis sa tendre enfance. Beaucoup de choses m'ont rapproché d'Anya, c'est elle qui s'est occupé de moi et Maman. Maman ne me délaisse pas, elle me protège et Anya aussi. Je suis le petit Sacha qu'elles aiment de tout leur cœur. Je me suis senti aimé.

Maman s'appelle Marguerite, comme la fleur, elle incarne la gentillesse et la bonté, elle est heureuse que je sois né. Mon institutrice, elle, même si j'ai oublié son prénom était mon premier amour, je lui ai fait des dessins quand j'étais enfant et puis maman s'est marié avec Robert, lui, il m'a éloigné de mon professeur et j'ai mis du temps à me souvenir de cette femme, c'est Maman qui m'a raconté qu'elle m'aidait à écrire des poèmes. Mes souvenirs d'enfance ressemble à des bribes car aujourd'hui, je crois me souvenir que l'institutrice avait des cheveux noirs et bouclés, qu'elle nous faisait chanter et écrire au tableau. Ce sont de vieux souvenirs, je ne sais plus ce qu'il a demandé d'écrire mais je me suis levé, toujours heureux, et ai toujours couru au tableau. La dame a, à chaque fois, dis : "Ne court pas Sacha."

Et, puis, avec Robert on est parti vivre en province, je dois avoir 12 ans à cette époque. Je ne suis plus allé à l'école de la ville. Ma grande soeur s'est marié à cette époque et n'est jamais revenu à la maison. Je ne l'ai pas avant de travailler dans le sud de la France, quelques années plus tard. Avant cela, je me suis retrouvé seul avec Maman et Robert, et j'ai détesté cela. Je n'ai jamais rien dit, car j'aime maman et qu'elle a besoin de Robert. A cette période, je travaille dans les champs, je ne gagne pas beaucoup mais ça permet d'aider maman. Le 18 mars 1979, ma maman est décédée. J'ai tout juste 17 ans. On l'a enterré au cimetière du village et son âme est partie en paix. Je pense beaucoup à elle mais c'est l'ordre des choses. L'année suivante j'ai quitté la maison de Robert, avec mon ami Philippe, nous sommes allés travailler dans le sud, ses parents étaient très riches alors ils lui ont payer une voiture, une Citroën 2CV, alors nous sommes devenu les rois du monde. Il m'a appris à conduire, ça me changeait les idées. j'aime beaucoup conduire mais je n'ai jamais passé le permis, je sais quand même conduire, Phil m'a appris, et je me souviens d'une fois où un gendarme qui en contrôlant mes papiers m'a tout à fait réprimandé, comme un père, alors que j'avais déjà 21 ans et puis il m'a laissé partir, en voiture. Je raconte toujours cette histoire.

Cette année, 1983, est chargée de bons et mauvais souvenirs. Je me suis fait viré de la centrale, car les dirigeants eurent des problèmes économiques. Petit ouvrier comme je suis, cela ne m'a pas atteint et je n'ai pas trop compris les motifs de toute façon. Je ne suis pas du genre à rester les bras croisés, et j'ai tout de suite trouvé un nouveau travail au port. Je décharge ou charge des cargaisons. Philippe, lui, conduit des trains, on se voit de moins en moins, mais des fois il m'invite à visiter des villes, ça me plaît énormément alors il m'a fait la promesse de me trouver un travail en tant que cheminot. Je le suis devenu l'année d'après. En attendant, mon travail au port m'occupe énormément et tous les soirs je me dirige dans le même bistrot, boire une bière après avoir acheté un paquet de cigarettes. Si j'y vais, c'est que la fille aînée du gérant me plaît bien. Elle a trente ans tout rond et aide ses parents. Il m'a fallu près de six mois pour la séduire. Et puis, avant de me marier avec Agnès, j’effectue mon service militaire pour une durée d'un an. Nous nous sommes mariés l'année qui suit et notre fille est née, nous lui avons choisi le prénom  "Catherine". Elle a les yeux bleus et les cheveux noirs de sa mère. Enfin, cette petite grandit très bien. Devenu cheminot depuis deux ans, je voyage énormément, Agnès, ma femme s'occupe beaucoup de la petite. Je suis un peu triste de ne pas pouvoir vivre toutes mes journées avec elles mais mon travail me satisfait. Des fois, je reste moins de 24 heures dans une ville et dans ces moments-là j'essaye de visiter chaque recoin. Comme un enfant je cours partout et m'ébahi des nouveaux paysages. Mon gout pour le voyage s'accentue de jour en jour. Philippe me propose un voyage à l'étranger, cela me motive tout de suite. Le périple consistait à partir en tente; avec lui et deux de ses amis, à partir d'un petit village des Pyrénées jusqu'en Espagne. On se donne tout le mois d'Août de l'été 1986 pour ce périple, mais nous y avons passé plutôt une vingtaine de jours. Ça passe vite. J'ai de se voyage de bon souvenirs. Je crois avoir repoussé toutes les limites de mon corps : à coup de bataille contre les frelons qui nous rendent visite dans la tente ou encore d'escalade vertigineuse dans des chemins sinueux. Les moments les plus doux sont les baignades dans les rivières. J'adore nager dans l'eau fraîche. Enfin, ce premier périple m'a tout à fait ouvert l'appétit du voyage, je veux découvrir encore plus le monde.

Je retourne travailler et m'occupe un peu plus de ma fille, elle a 3 ans, nous sommes en 1988, les voyages en France ne me suffisent plus. Les Pyrénées espagnoles me semble déjà loin, j'en redemande. Alors, Philippe me parle cette fois-ci d'un voyage en Yougoslavie mais ce pays subit de nombreux changements. Je pense qu'il serait dangereux d'y voyager, alors nous prenons plutôt le cap de l'Allemagne, voir le célèbre mur de Berlin. C'est la fin des conflits, alors, nous ne craignons pas grand chose. Il a des amis qui y vivent. Nous nous y sommes rendus, de là-bas, on sent l'histoire à plein nez. Nous vivions des moments historiques, j'y ai emmené ma femme et ma fille et Phil invita ses deux amis. Pour le retour, nous sommes passé par la République Tchèque, l'Autriche puis la Suisse. C'est qu'à cette époque, énormément de monde voyage, quitte leur pays. Ça se ressent sur les routes. Catherine ne doit pas avoir les mêmes souvenirs que moi, mais en quelque sorte ça doit la marquer.

De retour en France, je continue mon travail de cheminot et le voyage m'appelle de nouveau. Je veux aller en Amérique, puis en Asie et je terminerais par l'Afrique. Philippe mon compagnon de voyage s’enthousiasme avec moi. Agnès accepte d'aller au Canada mais refuse catégoriquement de partir jusqu'en Afrique. Ce n'est pas grave même sans Philippe, je me sens aujourd'hui capable d'aller où bon me semble, j'approche de la trentaine. J'aime toujours autant la vie et ma famille, d'ailleurs ma sœur rend visite à ma femme et ma fille lorsque je pars en vadrouille avec Phil.

Nous prévoyons le voyage au Canada pour l'hiver 1992, afin de fêter mes trente ans. Une date importante pour moi, je me souviens de ma mère qui me tapotait toujours la tête pour me féliciter de ma venue au monde. C'est grâce à elle que je suis un homme heureux, que j'ai voulu fonder une famille, que j'aime la vie tout simplement. Ma sœur me manque aussi, j'ai l'impression que l'on se voit de moins en moins. Enfin, le voyage au Canada dura dix jours. Nous avons justement laissé Catherine à ma sœur. Le voyage en lui même, m'a donné une dose de froid pour toute une vie ! Quelle idée d'y aller en telle saison, enfin, la température n'est jamais très haute par là bas. Nous avons rencontré énormément de personnes sympathiques. Je suis quasiment bilingue à force de discussions en Anglais, je suis plutôt fier de moi. Agnès, elle ce n'est pas la même affaire, mais l'on s'est encore plus rapproché, je lui sers de traducteur. Je donne mon adresse aux Canadiens qui nous hébergent, il rêve de venir en France, eux aussi. Ils nous en très bien accueillis alors je compte bien leur rendre la pareille.

Après chaque voyage je me sens un peu triste de devoir retourner travailler. Nous voilà en 1995, j'ai 33 ans et je cheminote encore. Ce métier dont je rêvais s'éloigne toujours plus, je pense à changer de carrière. Devenir organisateur de voyage, voilà ce qui me plairait tout à fait aujourd'hui. Phil approuve mon projet et serait prêt à investir dans une société. Nous prendrions notre temps, fallait-il un an ? cinq ans peut-être ? Je prospecte les offres d'emploi sur ce thème pour le moment.

Enfin, voici la tragédie de ma vie, ce qui m'a poussé à en finir. Ce qui m'a ôté tous mes rêves. Enfin, nous l'avons fondée cette société mais cela m'a rendu malade. Je vais vous raconter une nuit printanière de l'année 1997, le genre de nuit où l'on passe une bonne soirée dehors en compagnie de sa femme et d'un ami. Nous réservons une table sur le toit terrasse d'un hôtel de renommé le "Bel Azur". Nous fêtons la mis en place de notre projet alors nous avons fait les choses en grand. Tous bien habillés, bien coiffés, la bonne humeur nous réunis tous les trois. Le soir venu, nous rentrons tous ensemble, presque mains dans les mains, comme de vieux copains et puis d'un coup, il fait noir, c'est la nuit, mais ces hommes ont des masques clownesques, blancs, rouges,  des perruques en batailles bouclées flashy, des costumes super voyant aussi, de vrais clowns. Je n'ai pas peur des clowns, je me rappelle de les avoir salué d'un air enjoué. Et Bam, y'en a un derrière, qui me poignarde, et là, c'est l'adrénaline qui me prend, je ne comprends plus rien du tout. Ceux devant nous ont des bâtons dans les mains, nous n'avons pas eu le temps de comprendre quoi que ce soit, qu'ils nous passent à tabac. Mes souvenirs de cet incident sont très flous. Je vois les couleurs et les masques de clowns. Ma pauvre femme tombe au sol, Phil tente de l'aider, et moi, je me fais poignarder, je perds conscience, je ne vois déjà plus rien, un bruit sourd dans l'oreille et les cris de ma femme résonnent à peine. On me frappe encore.

À l’hôpital, on y est tous admis, les clowns nous ont tout volé, pourtant on n'était pas riche, enfin, à part Phil, mais il ne respire pas l'aristocratie. Le principal problème, c'est mon cas. Phil et Agnès restent à mon chevet, j'ai mis plusieurs jours à me réveiller, et même réveillé je ne peux pas bouger le bas de mon corps. Mes pieds allongés sur le lit d’hôpital refuse d'obéir. Agnès a des bleus partout sur le visage, le bras bandé et deux dents en moins. Phil, lui est en béquille et tout autant recouvert de blessures qu'Agnès et moi. Je suis sous perfusion. Des médecins m'expliquent que les coups de couteau portés sur ma colonne vertébrale, l'ont endommagé. Ce fichu clown ne m'a pas loupé, mais à ce moment là je ne voulais rien savoir, j'ai tout de suite compris que ma vie est fichue. L'incident d'une nuit m'a volé tous mes projets d'aventures. Agnès me dit bien sur que l'on peut vivre, que c'est ce qui est le plus important que les voyages n'étaient pas finis. Je n'arrive pas à être d'accord.

Je reste à l'hôpital longtemps. Ma grande sœur me rend visite, elle me joue du violon chaque fois qu'elle vient, s'occupe bien de moi. Je me sens pourtant impuissant. Ce que je mange n'a plus de gout. Ce que je vois ce sont les murs de l’hôpital. Je me sens traîner dehors, je deviens le fardeau de mes proches et je déteste ça. Je fais preuve de lâcheté mais cette vie ne m’intéresse plus, je lui fais mes hommages et décide d'avaler des médicaments à la date du 7 janvier 1998, pour rejoindre ma chère mère dans les cieux.

 

Qui sont les personnes qui pourraient faire remonter ces souvenirs ?



- Tout d'abord il y a la grande sœur et son air de violon qui a joué pour Sacha à ses anniversaires d'enfances puis lorsqu'il séjourne à l’hôpital.
- Ensuite il y a Philippe et Agnès, respectivement le meilleur ami ainsi que la femme de Sacha qui tout deux sont présents lors de l'agression qui a causé la paralysie de Sacha.
- Bien évidement il y a les hommes aux déguisements de clown qui sont les agresseurs et criminels impunis. (totales inconnus)

Qui es-tu ?


Je m'appelle Shiorin et je suis âgé(e) de 22/26 ans. Je préfère généralement qu'on utilise le pronom elle, toi, tu pour s'adresser à moi.
Youhouuuuuuu merci de votre lecture :D


A propos du forum...


Comment as-tu découvert le forum ?
La fondatrice !!
Qu'en penses-tu ?
Je suis beaucoup trop curieuse de voir où tout ça va mener, impatiente aussi, donc je valide car en plus le forum est très joli et agréable !

Les annexes étaient-elles faciles à comprendre ?

Dans l'ensemble oui, bien que des précisions en PV m'ont beaucoup aidé !

Quel est ton rythme global ?
Normalement, j'essaye de répondre au plus vite disons, dans ma tête j'essaye de pas excéder 1 semaine sans réponse (Après voilà, dans les faite il m'arrive de mettre une dizaines de jours à cause du rythme de la vie :'(( ) (Et évidement y'a toujours des exceptions, mais j'espère ne jamais mettre un mois par exemple D:)


Un petit mot à ajouter ?


J'aiiii trop hâte de rp avec vous ! Merci Ryne pour ce forum ! (et tout retour/conseille est grandement attendu même si c'est un peu "négatif" !  )
Aussi, merci de votre lecture !


Jiwañ Diosa
Jiwañ Diosa
Administrateur
Date d'inscription : 25/07/2024
Messages : 50
Sam 24 Aoû 2024 - 2:48
Bienvenue parmi nous
Sacha Belami

Ce fut une très agréable lecture. J'ai particulièrement apprécié l'histoire qui est détaillée à souhait tout comme le reste de ta fiche !
Toutefois, comme tu t'en doutes certainement, j'aurais besoin de quelques modifications et corrections. Rien de bien méchant bien qu'il y ait pas mal de coquilles.

Physique


Ici, surtout des fautes d'inattention que je vais te lister selon ma compréhension de ton texte. Tu peux également en profiter pour retirer ce qui est fait pour les p'akhita si tu t'en sens capable.
→ "sa carrure est plutôt carré" :: carrée
→ "plutôt court" :: courts
→ "mais leurs abondances et épaisseurs" :: leur abondance et épaisseur
→ "à du vernis de même teintes" :: teinte
→ "une veste et un pantalons de costume" :: pantalon
→ "ses vêtement" :: vêtements

Caractère


Ici encore, quelques coquilles que j'ai repérées :
→ "j'ai du mal à l’inquiété" :: m'inquiéter
→ "faire les chose" :: choses

Quotidien


→ "plutôt m'occupe énormément" :: je m'occupe
→ " les potager" :: les potagers
→ "qui peignent de magnifique toiles" :: magnifiques
→ "jeux de plateaux" :: plateau

→ "je ne suis pas sure de vouloir réellement" :: sûr
→ "C'est pour cela que je me détache des aides des Irpiri, mon deuil est terminé, peut être, j'espère ?" :: Dans la mesure où le but d'un llakisiña est de faire son deuil, c'est un peu étrange qu'il pense que son deuil est terminé, surtout en étant dans le déni. Je te propose plutôt qu'il soit partagé entre son envie de mettre un terme à son deuil tout en refusant de voir la vérité en face. D'autant plus que s'il est suivi par les irpiri depuis autant de temps ils doivent lui avoir dit qu'il y aurait d'autres étapes.

Souvenir


→ Je t'invite à relire l'histoire pour corriger un maximum de fautes. Je risque d'être particulièrement pénible si je te les site toutes dans ce passage assez longue de ta fiche...
→ "Cela m'a marqué car je pensais que maman m'en voulait d'être né ce jour." :: petite curiosité de ma part, mais qu'est-ce qui a amené Sacha à penser que sa mère lui en voulait d'être né ce jour-là ? Était-elle distante ? Ou y avait-il une autre raison ?
→ "le toit terrasse d'un hôtel de renommé, le ." :: je pense qu'il manque au moins un mot pour terminé cette phrase. D'ailleurs, la virgule de cet extrait est inutile ^^
→ Peux-tu retirer cette mention s'il te plaît ? :: "Plus il y a de détails, mieux c’est."

Et voilà, pour le principal o/ Ca fait déjà pas mal de choses à corriger. J'ai fais en sorte de te les citer dans l'ordre pour que ce soit plus simple lors de la correction.
En tout cas, bon courage pour faire toutes ces modifications et sache que, si tu le souhaites et que tu t'en sens capable, tu peux retirer les questions qui concernent les p'akhita o/

Sacha Belami
Sacha Belami
Date d'inscription : 23/08/2024
Messages : 14
Sam 24 Aoû 2024 - 23:04
Bonsoir,

Merci de ta correction. Je m'excuse de mes fautes.

J'ai corrigé toutes les coquilles que tu as relevé ( + fais un énorme effort pour la relecture des souvenirs de Sacha. ) : Je crois qu'il y avait des fautes à chaque phrases... désolée.

En parlant du paragraphes des souvenirs :

j'ai précisé le nom de l'hôtel ainsi que retiré la mention "Plus il y a de détails, mieux c'est."
Ainsi qu'ajouté au premier paragraphe quelques précisions sur les sentiments de Sacha : En effet, il n'étais pas délaissé spécialement par sa mère, juste eu quelques impressions.

Et enfin, j'ai modifié le point sur "Où en es-tu de ton deuil ?"
Merci pour ton aiguillage au passage. Alors, par ici, c'est un peu plus compliqué pour moi. Dis moi si c'est plus cohérent s'il te plaiit !

Je te remercie de ton retour !
Jiwañ Diosa
Jiwañ Diosa
Administrateur
Date d'inscription : 25/07/2024
Messages : 50
Dim 25 Aoû 2024 - 0:38
Tu es validé(e)
Sacha Belami

Merci pour toutes tes modifications et ta patience o/ Tu as un très beau personnage et nous avons hâte de te rencontrer dans les RP
En tout cas, amuses-toi bien ~

Tu peux désormais...


  • Commencer à RP dans la zone dédiée
  • Te recenser dans les listings afin que personne d'autre n'ait le même avatar que toi et pour que ton pouvoir puisse être connu de tous
  • Créer ta fiche de liens / carnet de bord si tu as envie de noter l'évolution de ton personnage et ses rencontres
  • Faire une demande de RP pour trouver des partenaires d'écriture

  • Concernant les Doubles-compte, le staff s'engage à le recenser dès la validation de ta fiche. Tu n'as donc rien à faire concernant ce point-là.


Nous te souhaitons un bon séjour à Ilaki~
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